Pourquoi les lignes rouges ne doivent pas être franchies

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Mesures d’accompagnement : la Suisse ne doit pas lâcher

Depuis plusieurs semaines, deux conseillers fédéraux et de nombreux médias suisses s’emploient à ridiculiser ce que l’on appelle la règle des huit jours. De quoi s’agit-il ? Pourquoi de telles attaques contre une règle qui fonctionne très bien pour la Suisse depuis de nombreuses années ?

En principe, tout est clair : notre gouvernement a affirmé à plusieurs reprises que la protection salariale en Suisse n’est pas négociable. Il s’agit là d’une « ligne rouge », a-t-il dit et redit, pas plus tard que début juillet. Mais nos deux conseillers fédéraux libéraux-radicaux font comme si ces décisions ne les concernent pas. Dans une vaste mise en scène médiatique, ils jettent en pâture la protection contre la sous-enchère salariale.

Cette attaque des conseillers fédéraux libéraux-radicaux contre la protection des salaires est tout simplement irresponsable. Ils risquent délibérément de faire un tort irréparable aux relations entre la Suisse et l’Union européenne (UE). Car dans le débat actuel, l’enjeu va bien au-delà de la question du délai des huit jours.

Dans un document d'information clair, l'USS explique brièvement et de manière concise comment les mesures d'accompagnement ont été mises en place, pourquoi la règle des huit jours est efficace et non discriminatoire, ainsi que les conséquences fatales du comportement des conseillers fédéraux libéraux-radicaux pour la Suisse et la coopération avec l'UE.

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Renseignements :

Thomas Zimmermann, responsable de la communication de l'USS, tel. 031 377 01 06

 

Responsable à l'USS

Daniel Lampart

Premier secrétaire et économiste en chef

031 377 01 16

daniel.lampart(at)sgb.ch
Daniel Lampart
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